?STREAMING!VF? C’est nous les héros(2021) Francais HD Film Complet HD1080p

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Note: PG (Action légère / Violence)
Genre: Action, Aventure, Science Fiction, Fantaisie
Langue originale: anglais
Directeur: Robert Rodriguez
Producteur: Ben Ormand
Écrivain: Robert Rodriguez

Date de sortie (Streaming): 25 décembre 2020
Co de production: Productions Quick Draw, Troublemaker Studios
Ils peuvent être des héros. Juste pour un jour.
Nous entendons certains personnages chanter le refrain du chef-d’œuvre art-rock classique de David Bowie plus d’une fois et nous entendons le message «nous pouvons être des héros» tout au long du message du scénariste-réalisateur Robert Rodriguez, léger, couleur bonbon, adapté aux enfants et joyeusement étrange «We Can Be Heroes », une suite autonome de« The Adventures of Sharkboy and Lavagirl in 3D »de Rodriguez, tout aussi loufoque et optimiste, de 2005.
Netflix présente un film écrit et réalisé par Robert Rodriguez. Classé PG (pour action légère / violence). Durée: 100 minutes. Disponible maintenant sur Netflix.
«Êtes-vous en train de dire que nous pourrions être des héros?» vient la question d’un petit super-héros en devenir. “Nous pourrions être des héros, juste pour un jour”, chante un autre mini-super-héros en réponse, puis ironise: “Désolé, c’était là pour la prise!”
Ce genre d’humour conscient de soi imprègne «We Can Be Heroes», qui a l’ambiance d’une série d’action en direct du samedi matin, seulement avec de meilleurs effets spéciaux. Bien que destiné à un jeune public, c’est l’une de ces aventures de super-héros qui divertiront également les adultes.
Notre narratrice et héros en devenir est une Missy Moreno (dans une performance gagnante), qui nous dit: «À une époque dans le monde où les choses se sentaient de moins en moins certaines, il y avait une chose sur laquelle on pouvait toujours compter : les héroïques. L’équipe de super-héros de notre planète. » Les Heroics étaient autrefois dirigés par le père unique de Missy, Marcus Moreno de Pedro Pascal, mais Marcus a conclu un accord avec Missy: il continuera à travailler à partir d’un travail de bureau au siège de Heroics (qui ressemble à une version rétrogradée de l’installation des Avengers), mais il gardera ses pieds fermement plantés sur le sol. (Donc, la même semaine, Pedro Pascal joue le méchant principal dans “Wonder Woman 1984”, il est du côté du bien dans “We Can Be Heroes.”)
Ah, mais les plans les mieux élaborés de souris, d’hommes et de super-héros tournent souvent mal, et Marcus est pressé de se joindre à Tech-No de Christian Slater, Miracle Guy de Boyd Holbrook et les adultes Sharkboy et Lavagirl, qui sont maintenant marié avec une jeune fille, pour affronter une armada de navires extraterrestres envahissant l’atmosphère terrestre. (Taylor Dooley reprend son rôle de Lavagirl, mais Taylor Lautner n’était apparemment pas disponible pour revenir en tant que Sharkboy, alors un JJ Dashnaw masqué prend le relais.) Les héros ne sont pas à la hauteur de cette armée de machines volantes de couleur violette avec des tentacules mécaniques et sont bientôt capturé et retenu prisonnier. Pendant ce temps, les enfants des héros ont été mis en quarantaine dans un bunker souterrain du quartier général des héros, pour mieux les protéger des extraterrestres.
Le POTUS maladroit de Christopher McDonald s’adresse à la nation et dit: «Les gens d’Amérique. Comme vous l’avez vu, les héros ont été capturés. … Tout cela semble plutôt désespéré. Mal. Désespérément mauvais.
«Comment ce type a-t-il été élu?» dit l’un des enfants. “Il ne peut même pas mettre deux phrases ensemble.”
Comme je l’ai dit: des blagues pour les enfants et des blagues pour les adultes.
Missy est la seule du groupe des enfants à ne pas avoir de super pouvoirs démontrables, mais elle est un leader naturel, et elle dirige une mission pour échapper au bunker, envahir le vaisseau-mère des extraterrestres et sauver leurs parents — et le monde. Ses acolytes sont un groupe diversifié qui, au départ, sont en désaccord les uns avec les autres, mais qui doivent apprendre à s’entendre malgré leurs différences et à travailler ensemble, et c’est là votre principal message de “Heroes”. C’est un groupe d’enfants sympathique (même si certains des enfants acteurs en font trop avec l’agression et les lectures excessives), et les débats sont animés par Priyanka Chopra Jonas en tant que Mme Granada, une civil qui est le directeur de Heroics, et la merveilleuse Adriana Barraza, grand-mère de Missy et la fondatrice des Heroics.
Même si nous aimerions voir les cinémas rouvrir dès qu’ils seront en sécurité, “Heroes” est en fait le genre de film qui fonctionne très bien sur l’écran d’accueil. C’est une diversion de 90 minutes parfaitement utilisable, et nous ne pouvons pas avoir trop de divertissements divertissants ces jours-ci.

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Des 7 000 $ «El Mariachi» à près de 200 millions de dollars «Alita: Battle Angel» de l’année dernière, les films de Robert Rodriguez sont imprégnés de l’énergie de quelqu’un qui joue avec une caméra dans son jardin. Les meilleurs (par exemple «The Faculty») rendent cet amusement contagieux et les pires («Sin City: A Dame to Kill For») souffrent de se prendre un peu trop au sérieux, mais tous conservent le genre d’étourdissement et de non- un amour précieux pour le jeu qu’Hollywood a tendance à étouffer dès leur arrivée. Ce n’est probablement pas un hasard si Rodriguez, basé à Austin, a toujours fait venir Hollywood à sa place — une dynamique qu’il a solidifiée en réincorporant ses Troublemaker Studios en 2000 — et les trucs qu’il y produit depuis ont doublé cette sensibilité de bricolage d’une manière qui se sent admirable même lorsque les films eux-mêmes ne fonctionnent pas.
Un riff «Avengers» loufoque, imaginatif et extrêmement axé sur les enfants qui combine des stars majeures avec des effets spéciaux de niveau Snapchat afin de donner une ambiance de dessin animé du samedi matin en direct à une histoire sur la prise de votre propre destin, «We Can Be Heroes »Est le film ultime Troublemaker (un sentiment renforcé par le fait qu’il s’agit également d’une suite autonome du flop 2005« Les aventures de Sharkboy et Lavagirl », lui-même une retombée tonale de la franchise« Spy Kids »qui a fait de Rodriguez ‘studio dans une force légitime). Il possède plus d’esprit visuel que n’importe quel film de super-héros de ce côté du Spider-Verse, une poignée de performances animées qui n’ont de sens que comme des faveurs personnelles, le seul iota de justice que Han Lue a pu obtenir cette année, et cinq ans -une vieille fille nommée Guppy dont les adorables pannes ressemblant à Hulk inspirent un personnage paniqué à prononcer la plus belle ligne de dialogue de l’année: “Attention, elle a la force de requin!” C’est le genre de chose que Rodriguez est né pour faire, et bien qu’il s’adresse sans vergogne à un public plus familier avec Peppa Pig que Pepper Potts, leurs parents seront heureux de constater que le réalisateur de «From Dusk ‘till Dawn» est toujours un enfant dans l’âme.
«We Can Be Heroes» commence la manière dont chaque film devrait: avec Christian Slater attaché à un jetpack et planant devant l’écran vert le plus évident imaginable alors qu’il soufflait sur un inhalateur et prévenait l’équivalent Superman de son univers (un Boyd Holbrook très inattendu comme “Miracle Guy”) que la Terre est sur le point d’être attaquée par une armada d’extraterrestres calamars violets. Ça s’appelle le cinéma: cherchez-le. Ces extraterrestres s’avèrent bientôt être les ennemis les plus redoutables que les Héroïques aient jamais affrontés, et les guerriers les plus puissants de notre planète sont tellement surclassés que même leur ancien chef veuf, Marcus Moreno (mode papa Pedro Pascal, rayonnant suffisamment de crédibilité pour compenser les effets spéciaux chintzy autour de lui) rompt la promesse qu’il a faite à sa fille de ne plus jamais retourner sur le terrain.
Mais il est capturé aussi, donc c’est aux enfants super puissants des Avengers — et à la progéniture apparemment impuissante de Marcus, Missy (YaYa Gosselin) — de sauver la situation. Mais d’abord, ils devront échapper à la détention! Le PDG transparent et diabolique de Vought Enterprises Jr ou peu importe son nom (Priyanka Chopra livrant la réalité des années 90 de Cruella de Vil en tant que chef de fille qui a mal tourné) a enfermé les derniers espoirs de la Terre dans une salle de classe au siège, et les a tous osés travailler ensemble et éclater. Le gouvernement ne va certainement pas intervenir et résoudre les choses: Christopher McDonald joue le président des États-Unis manifestement Trumpian avec suffisamment de vers pour insister sur le fait que chaque génération doit se sauver.
Les scènes «Sky Junior High» sont celles où le film est le plus jeune, mais aussi celles où il s’amuse le plus. Les capacités des enfants sont tellement plus étranges et plus ludiques qu’un film Marvel ne pourrait jamais s’en tirer, et Rodriguez se penche sur ce fait avec un abandon semblable à une récréation. Missy est naturellement le cerveau derrière l’opération, mais elle prend souvent le siège arrière du Wild Card (Nathan Blair), qui a toutes les superpuissances du monde mais aucune capacité à les contrôler — à un moment donné, il se transforme en grille-pain, avec pain frais.
Nous avons également Rewind (Isaiah Russell-Bailey) et sa sœur Fast-Forward (Akira Akbar), des jumeaux qui changent le temps et qui se battent toujours pour le présent. Nous avons une fille avec une voix de chant télékinésique (elle sert également de bande-son de marche), un gamin brillant en fauteuil roulant dont les muscles sont trop forts pour que ses jambes les soutiennent, et une fille silencieuse et gothy qui dessine l’avenir sur son iPad comme une sorte de Surf Ninja. Et n’oublions pas le garçon extensible qui est pratique, le garçon de cinq ans qui fabrique des avions en papier hors de l’eau, et — mon préféré — le gars constamment souriant qui est coincé dans un ralenti perpétuel; si Jim craint de décevoir son père super rapide (Sung Kang), vous ne le sauriez pas. Le plus petit mais non le moindre de tous est Guppy (Vivien Lyra Blair), une petite fille super mignonne qui fait partie de Baby Groot et de Jaws.
Rodriguez ne manque jamais une occasion de combiner ces personnages étranges de manière charmante et ridicule, tous au service d’un message plus pointu sur le travail d’équipe que n’importe lequel des films «Avengers» n’a jamais réussi à transmettre. Au moment où les enfants sont sortis du QG Heroics et ont mis le cap sur le vaisseau spatial extraterrestre où leurs parents ont été emprisonnés, nous avons déjà eu droit à un escalier humain élaboré, une action à rebondir dans le temps. , et même un montage de formation sur une reprise Kidz Bop-esque de la chanson Bowie qui prête son titre à «We Can Be Heroes» (supervisé par un jeu Adrianna Barraza, cette séquence semble avoir été éditée ensemble à partir de séquences b-roll de la fête d’anniversaire d’un enfant de cinq ans).
Cette chose n’a pas seulement l’impression d’avoir été faite pour les enfants, mais aussi comme si elle avait été faite par des enfants, et il ne faut pas longtemps pour que les visuels «art du réfrigérateur» deviennent partie intégrante du charme du film. Rodriguez pense toujours comme un enfant lui-même, et son scénario a l’attrait délabré d’une histoire qu’il aurait pu improviser avec ses amis sur le terrain de jeu à l’époque: ridicule, hyper et épuisant. Sa seule dimension adulte identifiable — la blague obligatoire «Chariots of Fire» qui est faite sur notre meilleur ami Jim, nonobstant — est la moralisation intense qui rassemble tout à la fin.
Après 90 minutes d’utilisation des tropes de super-héros pour suggérer que chaque génération d’enfants est plus évoluée que leurs parents, Rodriguez ramène les choses à la maison avec une révélation qui ne pourrait guère être plus explicite sur le message qu’il transmet: les adultes incitent les jeunes à se battre entre eux au lieu de travailler ensemble contre le véritable ennemi, et l’avenir de l’Amérique dépend de ses enfants qui trouvent un moyen d’exploiter leur diversité et leur confiance en eux dans une arme suffisamment puissante pour vaincre les républicains. Désolé, les extraterrestres de calmar violet qui changent de forme. La plupart des enfants sont peut-être trop jeunes pour relier les points, mais il n’est jamais trop tôt pour commencer à créer des problèmes.